| | Vos questions Comment accéder à la fiche produit d'un article ?
Ce site dispose de moteurs de recherche. Vous serez, ainsi, toujours accompagné et pourrez accéder aux fiches produit en seulement quelques clics !
Pour cela trois modes de recherche sont mis à votre disposition : - recherche par image,
- recherche par critères, suivant la forme, la matière, la classe, le filetage, les dimensions,
- recherche par normes, suivant l’organisme, le numéro.
Comment obtenir une étude pour la fabrication de pièces spéciales ?
Nos techniciens conseillers de ventes sont à votre disposition pour les études nécessaires à vos achats de pièces spéciales. Pour cela vous pouvez utiliser la page contact : - Choisir l'objet "Demander l'étude de pièce non-standard"
- Renseignez vos coordonnées complètes.
- Saisissez dans le champ "message" les informations nécessaires à votre conseiller, en définissants au mieux les caractéristiques techniques (forme, matière, classe, protection, dimensions) et les quantités souhaitées.
Nous vous conseillons de joindre au message un schéma ou tout autre élément pouvant apporter des précisions sur le produit recherché. Comment faire une demande d'ouverture de compte client chez SPB ?
Pour disposer d'un compte client chez SPB une demande préalable doit être formulée à notre service commercial. Pour cela un formulaire spécifique est à votre disposition sur ce site dans la "Palette d'outils".
Afin de faciliter un traitement rapide de ce document, nous vous demanderons de bien vouloir être précis et rigoureux dans sa rédaction. Comment obtenir des informations techniques complémentaires ?
A l'aide de la "Palette d'outils" située sur le bandeau gauche vous pouvez, à tout moment, consulter la table de correspondance des normes, les outils de calcul, les guides de choix, le dictionnaire, les informations sur les techniques de fabrication et le dossier technique général.
Pour accéder aux informations spécifiques à l'article, depuis la page produit, utiliser le lien "dossier technique" situé en bas de votre écran. Une vis doit résister au cisaillement : Non, car dans ce cas il est trop tard car pour les aciers, la résistance au cisaillement n'est que de 0,6 fois celle à la traction.
Une vis partiellement filetée est plus résistante qu'une vis filetée sous tête : Faux, sauf en cas de cisaillement pur et exercé sur la partie lisse, ce qui est à éviter dans la majorité des applications.
Plus la classe de résistance est élevée, plus l'assemblage résistera : Vrai a priori, si le montage conserve une certaine homogénéité (caractéristiques proches pour toutes les pièces en œuvre), mais faux dans le cas de sollicitations aux chocs (dans ce cas, au delà de la classe 8, les classes les plus élevées, par exemple 12.9, sont plus fragiles et cassent rapidement).Faux si les pièces de fixation sont plus rigides, et donc plus résistantes, que les pièces serrées, car elles subiront davantage les sollicitations en service. Ceci va à l'encontre de beaucoup d'idées reçues qui préconisent l'augmentation de la résistance de la visserie (généralisation des classes 10.9 et 12.9) dans un but de réduction de l'encombrement (diminution du nombre et de la taille des fixations), au détriment de la sécurité et de la longévité.
Plus on serre fort, moins la fixation pourra supporter de charges externes : Faux, sauf si on dépasse lors du serrage la limite élastique de la vis, en tenant compte des contraintes de tension et de torsion combinées.
Le choix de l'outil et du couple de serrage est une "affaire de terrain" : La prudence impose le contraire, et préconise une étude complète lors de la conception. Le choix du mode de serrage (contrôlé ou non, définition de l'outil et du couple) fait partie intégrale de la responsabilité du concepteur de l'ouvrage, voire du maître de l'ouvrage, ou du maître d'œuvre, rarement de l'opérateur.
Le mixage des variétés d'acier inoxydable (exemple : vis en A2 et écrou en A4) évite le risque de grippage : A notre connaissance aucun raisonnement, étude connue ou essai ne le confirme. Par contre il existe des revêtements spéciaux et appropriés dont les résultats sont eux réels et prouvés.
Un boulon, c'est forcément une vis à tête hexagonale plus un écrou : Faux, par définition, un boulon est l'association d'une vis et d'un écrou, sans aucune précision sur la forme de la tête.
La longueur nominale d'une vis est systématiquement mesurée sous la tête : Faux, cette règle n'est valable que pour les vis dont la partie sous tête est plate. Exemple : pour les vis à tête fraisée la longueur nominale se mesure tête comprise et par conséquent tient compte de la partie fraisée de la tête.
Le marquage est obligatoire pour tous les éléments de fixation : Faux, l'obligation de marquage ne s'applique que pour une partie des vis à métaux et pour les écrous normaux au filetage métrique. Les écrous en aciers et aciers alliés voient leurs marquages réduits au sigle du fabricant suivi du premier chiffre de la classe de résistance (4, 6, 8, 10, 12). Les tirants, tiges et écrous réalisés avec des aciers répondant aux normes ASTM ont une classification alphanumérique distincte (2H, B7, B16, L7, B8, B8M…).
Une pièce de fixation en acier inoxydable ne peut pas "rouiller" : Faux, le terme "inoxydable" ne doit être en aucun cas pris à la lettre, car il laisse présager une résistance généralisée et perpétuelle face à la corrosion. Malheureusement, il ne s'agit pas de métaux ou d'alliages résistant à la corrosion sous toutes ses formes et dans toutes les conditions mais plutôt d'alliages présentant des aptitudes à résister momentanément dans des ambiances précises et particulières d'agression localisée et limitée.
Pour les goupilles fendues et élastiques le diamètre nominal correspond au diamètre extérieur avant montage : Faux, le diamètre nominal des goupilles fendues et élastiques est celui du perçage dans lequel elles se montent. |